The Douche Froide compilation

In 2010, eight years after the beginning of our activities, we decided to release a celebratory compilation named Icy breath on burning flesh. This CD contains unreleased songs by 14 international artists of the dark ambient/experimental/post-industrial scene. We have chosen them because they are linked to the history of our radio show and association. We organized concerts with some of them (France Sauvage, Denis Frajerman), we worked on literary projects with some others (De Mange Machine), or we did special radio shows with their music and interviews (Drahomira Song Orchestra, Hermann Kopp, Ilitch, Nihiltronix). Of course, we have loved their music for quite some time and it was the opportunity to work with some of our music heroes, such as David Oliphant from cult bands Maybe Mental and Life Garden. So we released these lovely silk-screen printed objects which were received quite enthusiastically.
They are still available for 15 euros + postage. You just have to write to : douche.froide1@gmail.com

Here is the tracklisting: 

1. DRAHOMIRA SONG ORCHESTRA "This Famous Somewhere"
2. DAWN AND DUSK ENTWINED "Heading towards the West (2006 version)"
3. BEYOND SENSORY EXPERIENCE "H-Spell"
4. QUATTROPHAGE "Youch"
5. HERMANN KOPP "Ball der Gehenkten"
6. LES HAUTS DE PLAFOND "Die Katze essen"
7. DE MANGE MACHINE "... tout recommence, a recommencé, recommencera"
8. DENIS FRAJERMAN "Rivières de la nuit"
9. DAVID OLIPHANT "Eyes sewn shut"
10. NIHILTRONIX "Only Pain reminds"
11. FRANCE SAUVAGE "Kevin"
12. NATURE MORTE "Affaibli"
13. VLADIMIR HIRSCH "Exégète 2"
14. ILITCH "Le sofa rouge"

« Il résulte de cette initiative un ensemble de musiques programmées et expérimentales, ambiantes et sombres, énigmatiques et cotonneuses (Drahomira Song Orchestra avec son énigmatique et puissant « This Famous Somewhere »). C'est le dépassement de l'horreur par l'art. Agir dans la conscience des choses, vouloir tirer de cela une beauté, en l'occurence froide et à l'aura industrielle. La même ambition esthétique anime alors tous les intervenants (Dawn and Dusk Entwined et sa version impérieuse et orchestrale en date de 2006 de « Heading towards the West »), leur musique se présentant sous un bel objet sérigraphié: un empaquetage à connotation phallique, histoire de faire en sorte, aussi, que l'humour fasse partie de cet austère voyage, découpé en une presque quinzaine de plages fascinantes (...). Un ensemble ambitieux, une immersion »
                               Emmanuel Hennequin, D-Side

« Plutôt qu’une banale compilation de hits ou de titres incontournables qui se succèdent, l’équipe a privilégié des morceaux à ambiances qui se répondent. L’auditeur, même le novice, est amené progressivement vers des terrains de plus en plus étranges, déconcertants et harmonieux dans leur souci partage de la singularité. Musique martiale (Dawn And Dusk Entwined ; le somptueux titre de Vladimir Hirsch) ou profondément ludique (De Mange Machine) ; symphonie déglinguée (Quattrophage) ou promenade dans un rock qui découvre les souffles du monde (Denis Frajerman) ou même le blues (Ilitch) ; violons dingues et larsens en rut (Hermann Kopp, Nihiltronix), collages dada sur fond d’électro minimale (Les Hauts de Plafond), bruitisme démentiel (France Sauvage ou comment ne plus jamais appeler son enfant « Kevin ») ou ambiant cinématographique claustrophobe (David Oliphant)... Il est souvent difficile de ne pas noyer l’un ou l’autre groupe par un titre mal placé, collé à un autre avec des univers aux sensibilités rapprochées. Avec ces 14 titres inédits, ce n’est pas le cas et tous se complètent et font écho. Cet hommage à une scène protéiforme se traduit donc par un appel d’air, une résurgence souterraine : il y a dans ces courants underground énormément à découvrir. Ou à re-découvrir.
Icy Breath on Burning Flesh (un trait d’humour noir, comme une publicité Freedent ânonnée par des cadavres) se révèle un objet magistral de liberté et d’audace, une compilation indispensable également pour tous ceux qui clament qu’aujourd’hui il n’y rien de neuf ou de surprenant. »
                               Sylvain Nicolino, Obskure

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire